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Voici notre sélection de livres
LIVRES

Le consentement
Le Consentement" est le récit de Vanessa Springora qui, à 14 ans, a vécu une relation d'emprise avec l'écrivain Gabriel Matzneff, 50 ans.

Le Choeur des femmes
Dans ce roman, Jean Atwood, interne en chirurgie gynécologique, est contraint de passer six mois dans un service de "Médecine de La Femme" dirigé par un généraliste. Elle se retrouve confrontée à des patientes qui lui apprennent bien plus que ce qu'elle pensait savoir sur la médecine et la vie. Un récit poignant sur le sexisme en médecine et l'empathie.

S'ADAPTER
Ce sont les pierres rousses de la cour, les gardiennes, qui content ce récit: elles savent presque tout de l’aîné, de la cadette, de «l’enfant» et du dernier. Dans cette fratrie, l’enfant, le troisième donc, est né inadapté… Ils sont plutôt taiseux dans la famille. Alors, pour savoir, Clara Dupont-Monod a «écouté les pierres». Puis elle nous raconte comment, selon la place qu’occupe un enfant dans le clan, un même évènement peut être vécu de façon complètement différente, et avec des sentiments opposés. C’est intense, poignant, et pourtant lumineux.
JUSTICE, PRISON & DROITS

Pour elles toutes
Femmes contre la prison
Gwenola Ricordeau articule les analyses féministes et celles de l'abolitionnisme pénal et dénonce la faiblesse de la proposition politique des courants féministes qui promeuvent des réponses pénales aux violences contre les femmes. S'inscrivant dans la critique du " féminisme carcéral ", elle plaide pour des formes d'autonomisation du système pénal.

C'est ma juge
Fabienne Proz Jeanneret a été juge de la protection de l'enfant, puis juge pénale des mineurs, fonctions qu'elle a exercées pendant vingt- sept ans à Genève, de 1993 à 2020. Elle évoque dans cet ouvrage des destins d'enfants et d'adolescents qui l'ont marquée et des liens de confiance et de respects réciproques qui se sont tissés. Elle livre des réflexions sur la justice des mineurs, empreinte d'humanité, aux confins de multiples disciplines et qui est tout, sauf une justice mineure.

politiser l'enfance
Il s'agit ici, dans une perspective critique d'aborder les différentes façons dont l'idée d'enfance est sans cesse façonnée et renaturalisée, de saisir dans quelle mesure la minorité juridique est une minorité sociale. Il s'agit d'interroger le sens de nos représentations communes et collectives de l'enfance et des figures qu'elles prennent. Il s'agit d'aborder la question des critiques à adresser aux politiques de l'enfance à l'œuvre ainsi que celle des perspectives à envisager pour imaginer des futurs désirables.

La prison est-elle obsolETE ?
Comment et pourquoi plus de deux millions d’américains sont aujourd’hui derrière les barreaux ? Comment les entreprises font-elles profit du système carcéral ? Quels sont les mécanismes qui conduisent à criminaliser les communautés de couleur et à désaffilier politiquement de larges franges d’électeurs dans les minorités ? Dans cet essai brillant et parfaitement documenté, Angela Davis pulvérise les soubassements racistes et sexistes du système carcéral américain. Elle n’appelle pas seulement à réformer la prison, mais, radicalement, à ouvrir de nouveaux terrains pour la Justice.

Décarcérer
Sauriez-vous dire où se trouve la prison la plus proche de chez vous ? Combien de personnes y sont enfermées ? Si ce sont des hommes, des femmes ou des enfants ? Est-ce que leur temps de détention se compte en semaines ou en années ? La prison est un endroit dont on parle peu et que l’on connaît très mal, un espace où la plupart d’entre nous ne pénètreront jamais. Quand on critique l’emprisonnement systématique, on se voit souvent rétorquer : « Que proposez-vous de mieux ? » Sylvain Lhuissier fait avec cet ouvrage la preuve qu’une autre punition est possible. On sait depuis longtemps que la prison est une solution inefficace contre le crime, mais quand elle s’applique en grande partie à des milliers de personnes qui n’entrent pas dans la catégorie des criminels, ne faut-il pas revoir collectivement notre copie ?

Faire justice
Là où il est admis que le recours à la police en cas de violence n’est pas la solution mais plutôt un problème supplémentaire, la tentation est de s’y substituer. Si l’intention est louable, son application l’est moins. Les mesures sont expéditives et les outils pour faire justice sont encore profondément empreints d’une philosophie punitive : menace, exclusion, harcèlement, dénonciation publique et discréditation politique. Comment sortir de cette impasse?
Ce livre propose une critique fine du moralisme progressiste et des pratiques punitives dans les luttes sociales. En se saisissant d’exemples concrets et en discutant l’abolitionnisme pénal, elle pose les jalons d’une justice transformatrice inventive, capable de prendre soin des victimes et de transformer les individu.es comme les groupes

La loi des pères
Avec le mouvement #metoo, la parole des femmes s'est libérée. Celle des enfants reste interdite. Ce livre, témoignages à l'appui, révèle les causes, les mécanismes et les conséquences dramatiques de ce silence. Un à deux enfants sur trente sont victimes d'agressions sexuelles et de viols, principalement dans le cadre familial, mais le sujet reste partout tabou. Ou, pire, quand les faits sont révélés, ils restent impunis. Pourquoi ?
Ayant infiltré les groupes masculinistes, Patric Jean met en évidence l'idéologie qui protège pédocriminels et pères incestueux. Aujourd'hui, des pathologies pseudo-scientifiques, comme le « syndrome d'aliénation parentale », servent devant les tribunaux à exonérer les agresseurs, voire à mettre en accusation les mères et les personnels de santé qui les signalent. Pour confier la garde de l'enfant abusé au parent coupable.
Il est indispensable de lancer l'alerte sur ce phénomène méconnu. Il y a urgence.

Pour en finir avec la prison
Pour en finir avec la prison s’inscrit en rupture avec les discours les mieux partagés sur l’institution pénitenciaire : le sécuritaire et l’humanitaire. Entre ceux qui exigent un régime plus sévère et ceux qui revendiquent pour l’entrée du droit dans les prisons, le faux débat occulte la véritable question : à quoi servent les prisons aujourd’hui ?

L'empathie est politique
Dans le langage ordinaire, ressentir de l’empathie signifie se mettre à la place de l’autre, et éventuellement partager ses émotions. Mais, dans une société traversée par les conflits et les rapports de domination, l’empathie permet-elle vraiment de comprendre l’autre ?
Dans un essai stimulant et puissant, Samah Karak invite à reconnaître que l’on est inévitablement exclu de l’expérience des autres, et à imaginer de nouvelles voies pour s’ouvrir à leurs réalités. Plutôt que d’apporter à la souffrance et à l’injustice une réponse individuelle et affective, elle plaide en faveur de mesures politiques et sociales.

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En préparation

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